Des ONG, dont l’Association tunisienne des femmes démocrates et la Ligue tunisienne de défense des droits de l’Homme, se sont mobilisées contre cette procédure immonde dont le but évident est de pousser la victime à renoncer aux poursuites judiciaires. Certains membres du gouvernement n’hésitent pas à crier leur colère comme la députée Karima Souid, membre d’Ettakatol pour qui “L’affaire du viol et la convocation de la victime ce matin est la goutte d’eau qui vient de faire déborder le vase” et dont le statut sur Facebook est “Troïka, je vous vomis!”
L’une des manifs est prévue pour le samedi 29 Septembre à 15h, à la place des Droits de l’Homme à l’avenue Mohamed V, à Tunis. La société civile est notre rempart contre les abus et les dépassements, soutenons là, soutenons nous!
Violée par des policiers, elle est convoquée en tant qu’accusée
SBF