Avoir des formes et des courbes est un atout pour n’importe quelle morphologie, il suffit de faire la parfaite équation avec la mensuration, qu’elle soit grande comme Beyonce ou petite c’est le cas de Kim Kardashion. Et malgré l’étendue du succès de ces deux bimbos, nous (les femmes) avons encore du mal à nous adapter à cette réalité, contrairement à nos homologues du sexe masculin.
En dépit de toutes les études scientifiques et comportementales qui assurent qu’«avoir quelques kilos de trop peut être bénéfique pour la santé», certaines femmes continuent à se torturer pour ressembler à ces tops modèles presque «animiques». Il est vrai que le marché international du showbiz s’est rendu compte qu’il y a une grande différence entre la taille moyenne des femmes dite «taille-réelle» (40) et celle des mannequins (34) surtout avec la prolifération des problèmes de surpoids.
Face aux risques de perdre des clients, ils ont trouvé une solution :des catalogues «spéciales», des magazines de mode avec des créatures enveloppées et charmante, comme la ravissante russe Katya Zharkova, ou encore l’américaine Tara Lynn.
En Tunisie, voir une femme voluptueuse sur une affiche de mode semblait irréalisable où même impossible. Nous avions tendance à copier les Européens dans leurs manies et tics. Or, c’est avec un réel plaisir que nous découvrons, pour la première fois, qu’une marque de prêt-à-porter tunisienne, Mabrouk, a mis en avance, pour son lancement de nouvelle collection, un mannequin de «grande taille» (48). Une femme qui ressemble au mieux aux femmes tunisiennes, belle, charmante, confiante avec ses courbes qui constituent non pas un défaut mais des atouts.
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