Nos ancêtres n’avaient pas tort, semble-t-il, lorsqu’ils avaient surnommé les figues de barbarie “sultan El Ghalla”.
Dans les traditions culinaires tunisiennes, ce fruit n’occupe pas, vraiment, une place importante auprès des consommateurs qui lui préfèrent d’autres variétés de fruits. Bien que conscients de ses vertus, nos ancêtres n’ont pas vraiment cherché à l’exploiter comme il se doit, puisqu’ils n’ont tenté que de le transformer en marmelade.
Aussi, les graines des figues de barbarie se transforme en huile cosmétique. Dont le litre se vend à 800 euros en Europe, soit plus de 1.600 dinars tunisiens.
Pour un litre d’huile il faudrait moudre une tonne de graines. Cette huile, est riche en vitamine E, un antioxydant très bénéfique pour la peau.
La figue de barbarie est commercialisée sous forme du jus sur les marchés européens.
L’extraction du poudre pour le visage à partir des pépins des figues de barbarie.
Aussi, les fleurs des figues de barbarie sont bénéfiques pour le traitement dans les maladies de la prostate.
Rédaction avec TAP