The 10 best arab films», c’est le titre de l’article publié dans le quotidien anglais The guardian, qui répertorie les 10 meilleurs films arabes en 50 ans, dont un tunisien.
D’après Omar al-Qattan, « the Observer », le rédacteur de l’article, 50 ans de magiques films, de Tunisie en Iraq. Dans sa liste, nous trouvons :
A la première place, le film syrien « Al-Lail » (La nuit) de Mohamed Malas en 1993.
«Al –mummia » (La momie) de l’égyptien Shadi Abdel Salam en 1969.
« Khally Ballak min Zouzou » (Prend soin de Zouzou), de Hassan Al Imam en 1972 avec Souad Hosny.
Le film koweïtien, « Bas-Ya Bahar » (“Cruelle mer” ou “Stop mer”) de Khalid Al Siddiq en 1972.
« Al Dhakira al Khasba » (Mémoire fertile) est un film palestinien de 1980 de Michel Khleifi.
Les dupes « Al- makhdu’un » de l’Irakien Tewfik Saleh en 1973.
C’est un film tunisien du cinéaste Nouri Bouzid, qui occupe cette place. « Rih Essed » de 1986, un film qui traite du harcèlement sexuel et l’homosexualité. Un film sur les garçons de la classe ouvrière qui grandissent à Tunis, l’histoire d’un apprenti charpentier qui s’apprête à célébrer son mariage, mais voilà il garde un terrible et lourd secret. Victime d’abus sexuels par le menuisier du cartier. Un secret dont on menace de dévoiler.
« Doa al Karawan », les chants du rossignol, un film égyptien de Henry Barakat en 1960.
Le film libanais « 12 Angry Lebaese » de Zeina Daccache en 2009.
Le dernier film est celui de Hussein Kamal en 1971 avec l’adaptation de l’œuvre de Najib Mahfouz « Thartharh fawq al Nil », bavardage sur le Nil.
Mariem Soualhi