La chambre d’accusation de la cour d’appel de Sousse a confirmé la décision du juge d’instruction du tribunal de première instance de Kairouan dans l’affaire Amina Sboui, activiste du mouvement Femen, en lui accordant la liberté provisoire, jeudi 1 aout.
Son avocat Me Ghazi Mrabet a indiqué qu’Amina est accusée d’avoir écrit le mot “Femen” sur le mur extérieur du cimetière de la ville de Kairouan, le 19 mai 2013.