Après la grève des magistrats survenu le 21 mai 2013, comme signe de mécontentement vis-à-vis des actes de violences infligés par certains avocats sur ces premiers, le Conseil de l’Ordre national des avocats a riposté en appelant à une grève, le jeudi 23 mai. Un arrêt de travail est proposé pour dénoncer la violation de loi organisant la profession d’avocat commise par le Syndicat des magistrats tunisiens.
Cette tension entre magistrats et avocats s’est accentuée après la convocation d’un avocat pour comparaître devant le juge d’instruction. Un acte que dénonce et rejette le Conseil d’Ordre national des avocats.
