Dans la semaine du 9 au 14 mars 2015, 9.247 professeurs ont été absents et n’ont pas assuré leurs cours. Alors que le mouvement de grève était censé être limité aux examens de la semaine bloquée.
On se rend aujourd’hui compte du fossé entre la réalité du militantisme syndical des enseignants et les valeurs du travail qu’ils sont censés inculqués aux générations futures.
Aujourd’hui on assiste à un véritable massacre de l’enseignement et des valeurs auxquels les parents ont tout sacrifié.
Les dernières déclarations de Lassaad Yaacoubi, secrétaire général du syndicat des enseignants, ne vont pas dans le sens d’une volonté de trouver une solution amiable au conflit avec le ministère de tutelle.
Certains vont même jusqu’à soupçonné que ce conflit est influencé par des considérations politiques et n’hésitent pas à dire qu’on avait ce même niveau de zèle Salem Labiadh.