Des représentants d’Associations de l’environnement à Gabès ont formulé l’espoir de voir la nouvelle Constitution mettre fin à la situation environnementale en constante dégradation depuis l’installation, il y a une quarantaine d’années, des industries chimiques.
Foued Kraiem, président de l’Association tunisienne de l’environnement et la nature à Gabès, a insisté sur la nécessité de mettre fin de manière définitive à la pollution dans la région conformément aux dispositions de la nouvelle constitution, notamment l’article 45 qui stipule que l’Etat garantit le droit à un environnement sain et équilibré.
Il a également appelé à la mise en œuvre des projets que l’Etat s’est engagé à réaliser dans le domaine de l’environnement et à accomplir une première étape sérieuse pour la préservation des richesses halieutiques et oasiennes.