D’après Sihem Badi, c’est une atteinte aux valeurs religieuses et morales de la société tunisienne et une infraction aux conventions internationales ratifiées par l’Etat tunisien et aux lois en vigueur. Le ministère des Affaires de la femme dénonce aussi les avis émis par des prédicateurs religieux extrémistes qui ont encouragé ces comportements.