« La femme est un objet ». C’est ainsi pour la majorité des hommes, à part la mère, sœur et tante; toutes les autres sont susceptibles d’être leurs « jouets ». Du coup, des études ont été menées et le sont encore pour étudier ces spécimens sur la base de leurs préférences en matière de « jouet ».
L’étude de Wiggins révèle « la différence entre les amateurs de poitrine, de postérieur et des jambes chez les femmes et sa signification ». Elle s’appuie également sur le livre Correlates of Heterosexual Somatic Perference publié en 1968.
Les résultats :
Les hommes qui préféraient la femme de petite corpulence ont tendance à persévérer dans leur travail. Ils ne sont pas cyniques à propos de l’autorité. Bien que le petit personnage fût généralement détesté par les sujets pendant l’étude il peut très bien être le type préféré parmi des hommes de la classe supérieure (Moore, Stunkard, et Srole, 1962), comme le suggère les données actuelles.
Les gros seins étaient caractérisés par la tendance à jouir fréquemment. En outre, elles ont été liées à un besoin de contacts hétérosexuels et d’exhibitionnisme, même au niveau spirituelle : être le centre de l’attention. Dans les relations sociales, les hommes qui préféraient les gros seins ont tendance à être non-maternant et indépendants. Dans la présente étude, la préférence pour les gros seins est positivement corrélée avec le tabagisme et une corrélation négative avec l’endurance (la persévérance dans les habitudes de travail).