Il paraît que cette technique est quasiment sans risque pour la santé des femmes. Il peut tout de même avoir des effets indésirables comme une douleur au point d’injection ou une réaction inflammatoire locale. C’est peut-être, en raison de ces risques minimes et des résultats que l’injection du point G satisfait un grand pourcentage de femmes. Comme vous l’avez compris, c’est une intervention médicale à l’intérieur du vagin de la femme, une sorte de chirurgie intime sous forme d’injection du point G.
Il paraît que c’est la meilleure solution pour qu’une femme soit pleinement satisfaite sur le plan sexuel. L’injection permettrait d’accéder à l’orgasme vaginal plus facilement. Une pratique qui devient de plus en plus vitale, selon le magazine Fabulous, «beaucoup de femmes sur la côte ouest, aux USA, affluent vers leurs médecins pour obtenir leur G-Shot». La procédure implique une injection d’acide hyaluronique, un agent de remplissage à base de collagène qu’on trouve couramment dans les produits de soin, livré sous anesthésie locale. L’idée est que cette technique permet une excitation sexuelle accrue et une augmentation des orgasmes vaginaux suite à l’élargissement/ gonflement du point G.
L’effet de cette injection a une durée avoisinant les quatre mois pour un prix entre 1000 et 1800 $, «un petit prix à payer pour un si paquet de joie», d’après les spécialistes.
Sur le plan pratique, Caroline Cushworth s’est confiée au «DailyMail» au sujet de son expérience «… je n’ai littéralement jamais vécu de tel ! J’ai eu des orgasmes multiples constants qui a duré des heures. C’est a première fois, la sensation était si intense que j’en ai eu peur!».
Cependant, l’efficacité de la chirurgie intime ne convient pas tout le monde, d’après Fabulous magazine, certains experts estiment que la procédure est inutile et absurde car ils pensent que le point G est un mythe et même un homme en blouse blanche ne sera pas le trouver pour vous en cinq minutes. Il a été l’objet de controverses depuis 1950, lorsque le gynécologue allemand Ernest Grafenberg a prétendu avoir trouvé une zone située derrière la paroi supérieure du vagin qui, lorsqu’elle est stimulée, conduit à l’excitation sexuelle accrue. Une découverte, contestait par d’autres.
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