«Hairy Legs Club» (le club des jambes poilues), une nouvelle vague suivies et assumées par plusieurs dames à travers le monde. Pour ces adeptes, il n’y plus de place pour le dicton «il faut souffrir pour être belle», une tendance qui met en cause certaines bases de beauté et de féminité d’après les opposant(e)s.
Le mouvement Wang “Women Against Non-essential Grooming”(Femmes contre toilettage non-essentiel) part dans le même sens, et il a conquis les réseaux sociaux de différentes formes ( blog, groupe, page…). Les adeptes partagent leurs photos, les réactions, les avis et les expériences personnelles depuis qu’elles ont délaissé leurs rasoirs et cires.
Le mouvement «estime que chacun devrait être libre de choisir les normes corporelles sexuées coercitives qu’il veut et de disposer d’une autonomie corporelle absolue. Nous attendons avec impatience le jour où les gens pourront présenter leurs corps de la manière qu’ils choisissent, libre de contraintes politiques, sociales, et économiques!»
WANG a été mis en place comme espace de discussion de soutien pour les femmes qui ont rejeté l’idée que, pour être considérée comme attirante, féminine, et respectable, elles appliquaient des normes de genre «de beauté» communes. Il offre un espace à la fois pour celles qui choisissent de ne pas appliquer ces réglementations et pour celles qui croient que les techniques de beauté conventionnels ne sont pas la seule voie pour être des personnes intéressantes et socialement utiles.
