Nous n’allons pas devancer le jugement, mais il est primordial de rappeler ce que nos textes législatifs prévoient en cas d’atteinte à la pudeur.
Rappel des faits
Une maman va chercher sa petite fille de trois ans de son jardin d’enfant. Une fois arrivée à la maison, la fillette se plain des douleurs au niveau de ses parties génitales. Rien de nouveau ou de suspect avec les enfants à cet âge-là. Une fois les sous-vêtements de la petite fille ôtés, le choc est rude !
La maman décrit l’état des parties génitales de sa fille : des rougeurs, du sang, et quelques hématomes.
Paniquée, la maman appelle le papa sur son lieu de travail. Ce dernier rentre illico chez lui. Les parents emmènent leur fille à l’hôpital et ensuite au poste de police, munies d’un certificat médical exposant les sévices sexuels dont la fillette de trois ans a fait l’objet.
Le petit-ange a raconté aussi bien à ses parents qu’aux agents de police ce qui lui est arrivé. Elle raconta les faits, identifiant le « coupable », l’endroit où c’est arrivé, les personnes présentes…
Mariem Soualhi