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Le vernis à ongle qui détecte la drogue des violeurs

homme-invention

Ils sont quatre et ils ont réussi à faire un grand pas en avant dans la lutte contre les crimes sexuels à l’égard de la femme.

Ils ont développé le premier vernis à ongles qui change de couleur lorsqu’il est exposé à la drogue des violeurs le GHB, y compris le Rohypnol et l’Xanax.

D’un geste discret et naturel, la jeune femme peut savoir si sa boisson est saine (sans substances illicites ou pas). Elle n’a qu’à mélanger le contenu de son verre avec le doigt et avoir instantanément le résultat. Une mesure préventive qui va aider plus d’une éventuelle victime.

D’après les concepteurs «le vernis à ongles (the Undervocver Colors) qui change de couleur en présence de la drogue du viol permet de  lutter contre la violence sexuelle. Aux États-Unis, 18% des femmes sont agressées sexuellement au cours de leur vie. C’est près d’une femme sur cinq  dans notre pays. Nous ne pouvons pas savoir qui elles sont, ni seront, mais ces femmes ne sommes pas sans visage :se sont nos filles, nos amies, nos sœurs…

Alors que les drogues du viol sont souvent utilisés pour faciliter une agression sexuelle, il existe très peu de science pour les détectés. Notre objectif est d’inventer des technologies qui permettent aux femmes de se protéger contre ce crime odieux et omniprésent.

Pour notre premier produit, nous avons  développé un vernis à ongles qui change de couleur quand il entre en contact avec les drogues du viol comme le Rohypnol, le Xanax, et le GHB. Avec notre vernis à ongles, une femme sera habilitée à s’assurer discrètement de sa sécurité en agitant simplement sa boisson avec son doigt. Si son vernis à ongles change de couleur, elle saura qu’il y a quelque chose qui cloche.

Nous voulons changer les choses : c’est aux auteurs de ces crimes d’avoir peur des victimes et non aux femmes… »

Non seulement le nouveau produit crée une ligne de défense contre les agressions  mais le détecteur  peut aussi protéger contre les réactions  qui peuvent  être causé par la mauvaise manipulation d’alcool et médicament, selon le Bureau pour la santé des femmes.

 

 

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