Trois jours après son décès, le Conseil national de transition annonçait la libération du pays. Deux ans plus tard, la situation ne s’est toujours pas stabilisée et certains regrettent la sécurité qui régnait sous l’ancien régime.
Sur les ondes d’une radio russe, Safia a demandé au Conseil de Sécurité de l’ONU et à l’Union européenne de lui fournir les aides nécessaires pour retrouver les traces de son mari.
Par ailleurs, elle a également sollicité des ONG pour lui permettre de contacter son fils actuellement en prison, Seif Al Islam, en assurant qu’il est innocent et que tous les chefs d’accusation lancés contre lui sont non-fondés.