En manque d’idées pour le dîner, un père de famille décide de cuisiner…sa fille.
La troisième hypothèse semble plus réaliste. En l’occurrence, le père doit être interné en urgence avant qu’il ne brûle le reste de sa famille.
En tentant vainement de justifier son acte barbare, le père déclare son intention de «chasser le diable». Aujourd’hui, pour chasser le diable, il faut brûler le diable. On aurait tout vu dans la Tunisie postrévolutionnaire !
La victime, brûlée au deuxième degré, a été immédiatement transportée au Centre de Traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous après l’intervention des agents de la protection civile.
D’autres sources ont laissé entendre que la brute a brûlé sa fille à vif pour se «venger» de son épouse…
N’arrivant pas à se décider si le diable se cache en sa fille ou sa femme, cet homme –s’il n’est pas malade- doit être puni pour ce geste bestial.
Alors Sihem Badi, contente?