Rien n’est impossible, c’est la règle d’or que nous, en tant que tunisien(ne)s, pouvons affirmer. Nous prendrons pour preuve l’ambiance de la scène politique tunisienne!
En effet, vu qu’en plus l’«impossible n’est pas tunisien», nous nous sommes posé une éventuelle possibilité, c’était avant même le début du Dialogue national, en l’occurrence “pourquoi pas avoir une femme à la tête de l’Etat tunisien“.
Pour ce faire, nous vous avions présenté quatre noms : Wided Bouchamaoui, Nabiha Gueddana, Kalthoum Kannou et Sihem Ben Sedrine.