Quant à mon cœur, il navigue comme un petit navire dans le calme, le doux océan de tes yeux beaux et grands…
Je reprends ma plume encore une fois, pour y mettre en lettres ses notes endiablées qui ne cessent de se révolter et de se mutiner dans l’unique but d’être déclarées.
Toi, ma princesse à moi, ma Valentine en qui je crois, souris-moi, regarde-moi, parle-moi… je suis si amoureux de toi…
Toi, laisse tes regards se poser sur moi et y graver au fond de mon cœur ton visage et ton prénom, une fois, deux fois, mille fois, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de place pour autre que toi…
Toi dans mes bras et le reste n’existe pas, plus de place, plus rien… juste toi, un trésor collé à moi, dans mes bras. Un paradis que tu sais créer à volonté chaque fois que je te sens entre mes bras, un paradis où nul ne peut y avoir accès, pas même Lucifer…
Donne-moi ta main, laisse-moi l’embrasser, laisse-moi encore une fois l’embrasser, non s’il te plaît ne la retire pas, laisse-moi l’embrasser encore et encore et encore… savourer cette tendresse en eux, cette douceur de peau qui enflamme le brasier de mon cœur et déchaîne les flammes de la passion d’un sentiment fort et sincère… d’un sentiment noble et grand… d’un amour chaud et brulant…
Tu n’es pas une femme, non désolé, je ne vois pas en toi une femme, c’est la bien réelle réalité… Oui, je ne vois pas en toi une femme, parce que je vois en toi LA FEMME, LA FEMME de mes rêves, LA FEMME de mes envies, LA FEMME avec qui je me lève le matin et je me couche la nuit, LA FEMME qui porte mon nom et mes enfants, LA FEMME qui construit mon jour et ma nuit, mon aujourd’hui et mon demain, mes souvenirs les plus beaux et les plus ambigus, LA FEMME qui deviendra mère et mamy à mes côtés. LA FEMME qui me tiendra la main quand je fermerai les yeux pour la dernière fois…
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Ma puce, grâce à toi j’ai pu trouver une fontaine de jouvence à moi et rien qu’à moi. Chaque fois que tes lèvres se posent sur les miennes, je me sens revivre, je me sens plein d’énergie, je me sens… honnêtement, je ne sais pas vraiment ce que je ressens puisque tous mes sens sont en émoi, grâce à toi…
Quand tu poses ta tête sur mon épaule, tu me fais traverser des sommets, des mers et océans, du Mont Blanc à l’Everest, où je ne sais quelles hauteurs ou continents, quelle importance !
Je survole la terre, c’est déjà une grandiose sensation et ça sera torture d’essayer de décrire ce que sera le jour où tu t’endormiras avec ta tête sur mon torse et tes cheveux en vrac…
Oh mon Dieu, ait pitié de moi et aide-moi ; je ne demande pas grand-chose, je ne veux ni fortunes, ni richesses, ni succès. Je la veux elle et rien qu’elle, car à elle seule, elle les réunit.
Je serai heureux et comblé et je ne te remercierai jamais assez pour cette bénédiction, cette œuvre d’art de la nature que tu as créée, cette unique et majestueuse créature…
Oh mon Dieu, si Adam a croqué une pomme pour Ève, je croquerai tout un champ de pommiers pour elle, de la racine à la feuille, quelle importance ?… Je ne renoncerai pas à elle, je ne veux qu’elle. Faites que nos vies soient liées, dans le meilleur et le pire, aide moi à ce qu’elle soit ma destinée, à ce qu’elle soit l’inspiratrice des mots qui formeront le livre de ma vie jusqu’à sa dernière ponctuation et que se soit écrit dans le bonheur, dans l’entente et le respect, dans la gaieté et l’amour qui nous réunira pour toujours, même quand tu nous appelleras un jour à tes côtés…
Ahmed Oualha