Comment oses-tu souiller de ton usage
La virginité de tes pages
Est-ce dû à tes pseudo-mages ?
Intellectuellement d’un autre âge !
Ta jeunesse hantée par la rage
Tes espoirs étouffés dans des cages
Tes fleurons vont à la nage
Adorer l’auteur du carnage
Ton peuple souillé dans son image
Sa pseudo élite enfonçant son visage
Oh Carthage !
J’ai la rage !
Comme tes centaines de sages
Nous aspirons à réécrire tes pages
En dix points, beaucoup de courage
S’acharner à remodeler tes rouages
Rompre avec nos mirages
Sculpter à nouveau nos étages
Élever nos ménages
Démanteler le vil aréopage
Raviver et Étendre ton ombrage
Veiller à enrichir le potage
Maintenir droit et fort le forage
Se libérer définitivement des mortels ancrages
Tel est notre héritage !
Autant sinon le sarcophage !
Oh Carthage !
J’ai ta rage ! . /.