A l’ouverture de la réunion, la ministre a exprimé le besoin de réfléchir sur la prise en charge des enfants qui ne trouvent pas l’attention nécessaire dans leurs familles et d’analyser les causes qui sont à l’origine de l’abandon des enfants.
Elle a, en outre, indiqué à la TAP, que la réussite de la mise à niveau des centres intégrés est tributaire de l’adhésion des professionnels du secteur, en particulier les directeurs de ces institutions, les éducateurs et les cadres spécialisés.
La Tunisie compte 23 centres intégrés de l’enfance et de la jeunesse qui accueillent un millier de pensionnaires, outre les services fournis à quelque 2800 enfants dans leur milieu familial.