« Nous n’adoptons pas les mêmes méthodes de lutte mais nous comprenons parfaitement les choix qu’elles font et nous sommes solidaires avec Amina contre toutes les formes de violences qu’elle subit (…) Ce ne sont pas toutes les féministes de par le monde qui adoptent les Femen. Ce n’est pas une question de femmes tunisiennes, c’est une question de choix, de méthode de lutte. Chaque groupe, chaque mouvement social, chaque individu, chacun choisit la méthode de lutte qui lui va…»