Une campagne artistique menée de front par les accusés et un grand nombre de leurs confrères ainsi qu’une demande officielle au gouvernement tunisien d’abandon des poursuites par Human Right Watch a apparemment donné ses fruits puisque Mehdi Mabrouk, ministre de la culture qui, avait lui même annoncé le dépôt d’une plainte contre l’association organisatrice du Printemps des arts pour atteinte au sacré, a annoncé lors d’une conférence de presse qu’il soutenait totalement les artistes et qu’il plaidait pour l’abandon pur et simple des poursuites contre eux.
SBF