Après la première villa imprimée 3D réalisée en Chine place au premier bâtiment imprimé aussi en 3D réalisé en collaboration avec le département américain et des chercheurs de ORNL.
Le point fort de ce bâtiment c’est qu’il respecte au mieux l’environnement. Il a une source d’énergie mobile qui est un véhicule (imprimé en 3D aussi) combinée à d’autres énergies renouvelables comme la photovoltaïque.
Un travail pionnier qui vise « à identifier et développer des stratégies innovantes pour parvenir à un équilibre durable entre la croissance rapide des villes dans le monde, de leurs besoins en énergie et l’environnement naturel ».
Grâce à l’intégration des connaissances scientifiques et de haute performance de conception architecturale, le bâtiment explore le potentiel d’un boîtier d’imprimerie 3D pour condenser les nombreuses fonctions d’un système de mur classique dans une coque intégrée : la structure, l’isolation de l’air, à l’humidité, et le revêtement extérieur.
Cela pourrait conduire à une construction avec zéro déchet, la réduction de la consommation de matière et à des bâtiments qui peuvent être broyés et réimprimés dans une nouvelle forme et utilisations.
La structure (de 38x12x13 pieds) est « construite » (imprimée) sous forme de C avec des tiges d’acier qui renforcent l’axe faible de la matière imprimée. L’enceinte de l’additif de fabrication a été conçue pour résister aux charges latérales et pour être compatibles avec les codes du bâtiment. Des tests de charge à grande échelle ont été entrepris pour confirmer la performance de la structure.